Chambre de Louis
L’immense tour s’élevait au-dessus de moi dans un entrelacement de poutres.
Le mobilier était sobre, je n’avais pas beaucoup d’affaires : un pupitre, une armoire à vêtements, trois caisses de rangement.
Il n’y avait ni tapis ni décoration.
Les pierres grises et les vitraux suffisaient à eux-mêmes. Mon lit était perché sur la mezzanine.